À propos du Banana Fish en quelques mots:

Banana Fish est un anime de 24 épisodes qui suit l’histoire d’Ash Lynx, un adolescent beau et charismatique qui est également un chef de gang redoutable à New York. Lorsqu’il rencontre un journaliste japonais, Eiji Okumura, leur vie change à jamais. Ensemble, ils cherchent à découvrir la vérité derrière un mystérieux médicament appelé Banana Fish, qui a des effets dévastateurs sur ceux qui l’utilisent. Leur voyage les emmène dans les quartiers les plus sombres de la ville, où ils sont confrontés à des ennemis puissants et violents. Banana Fish est une histoire captivante et émouvante de survie, d’amitié et d’amour dans un monde impitoyable.

Rencontrez les personnages de Banana Fish

Eiji Okumura

Eiji, c’est ce doux rayon de lumière qui débarque de nulle part et fout tout en l’air — dans le bon sens. Je jure qu’il a le cœur en or et la meilleure tête de pigeon triste que tu verras, toujours à photographier des trucs bizarres à l’aube; il est naïf mais terriblement brave quand ça compte. Il tient à Ash comme à la prunelle de ses yeux, pleure devant un film et peut monter sur un toit sans réfléchir, oui oui contradiction totale. Et petit détail mignon: il a toujours un onigiri en poche, sauf quand il jure qu’il préfère le café (mais non, c’est le thé).

Shunichi Ibe

Ibe, le collègue un peu flippé mais loyal, celui qui essaie de garder tout le monde raisonnable — sans grand succès la plupart du temps. Photographe sérieux mais qui rigole d’un rien, il paraît toujours un peu endormi (ou complètement dépassé) et en même temps il fait des décisions surprenantes quand il faut. Il est protecteur, surtout envers Eiji, et a une manie bizarre pour organiser les câbles d’appareils photo; oui, vraiment, il range les câbles. À la fois calme et un peu paniqué, et je t’assure, il a des blagues nulles mais on les aime.

Max Lobo

Max, le journaliste qui a vu trop de choses mais qui refuse d’abandonner la loyauté, c’est l’âme rugueuse du groupe. Ancien militaire (ou presque, enfin on sent le passé lourd), il fume, boit du café fort et te dira la vérité même si elle pique; protecteur et parfois trop impulsif, genre «j’y vais» sans réfléchir. Il a un sens de la justice incurable et une collection secrète de BD — oui, il lit des comics quand il ne bouffe pas des hot-dogs à minuit. Un type qui ferait tout pour les autres, mais qui grogne tout le temps, c’est son charme.

Lao Yuen-Tai

Lao, vieux boss aux airs de sage et au regard calculateur, on pourrait presque le confondre avec un grand-père adorable… jusqu’à ce qu’il montre ses crocs. Il dirige avec finesse, parle peu et boit beaucoup de thé (ou c’est du whisky? tiens je ne sais plus), et garde toujours une carte d’avance comme un joueur d’échecs énervant. Digne, cérémonieux, mais il lâchera une blague salée au mauvais moment, ce qui est délicieux. Parfois il semble tendre, parfois il est glacé — c’est exactement ce qui le rend fascinant.

Yut-Lung

Yut-Lung, le prince cruel et brillant, genre génie-petit-démon: élégant, vindicatif et terriblement imprévisible. Il a l’air d’un gosse gâté qui joue du piano et prépare des plans machiavéliques entre deux flacons de parfum — raffiné et dangereux, combo mortel. Il peut être d’une courtoisie exquise puis basculer en violence gratuite avec un sourire presque enfantin; contradiction totale mais c’est ce qui le rend flippant. Il adore les choses luxueuses et garde au fond un vague besoin d’affection (ou alors il fait semblant, mystère).

Jessica Randy

Jessica, reporter affûtée et sans filtre, c’est la meuf qui arrive, prends des notes, et t’assomme avec une question embarrassante — love her or fear her. Glamour un peu trash, elle aime les gros titres, les talons et les cafés à gogo; mais parfois elle surprend par un geste hyper tendre, genre elle nourrit un chat de gouttière à trois heures du matin (véridique ou pas, je te jure que je l’ai lu quelque part). Ambitieuse mais pas complètement sans cœur, elle se met en danger pour la vérité — et pour le scoop, évidemment. Et oui, parfois elle pleure devant une pub, ne me demande pas pourquoi.

Frederick Arthur

Frederick a cette allure britannique un peu poussiéreuse, très méthodique, il aime les manuels et les règles mais, allez savoir pourquoi, collectionne des chaussures ridicules. Calme, posé, avec un sens de l’honneur qui fait plaisir, il analyse tout comme s’il écrivait un rapport, et il est bizarrement drôle sans s’en rendre compte. Il incarne la stabilité dans le chaos mais garde un petit secret sentimental — il parle aux plantes? Peut-être. En tout cas, il est fiable et légèrement charmant dans sa rigidité.

Sing Su-Rin

Sing, wow, femme de poigne et coeur en warzone: elle dirige les coulisses comme personne et sait tout sur tout le monde, même des détails embarrassants. Raffinée, dangereuse et incroyablement maternelle quand il faut — elle a ce talent pour poser des questions qui te font déballer ta vie, mais bon, elle offre aussi du thé. Elle porte toujours un foulard coloré et fume comme un vieux capitaine de bateau, contradiction totale avec sa voix douce. Mystérieuse, loyale, et prête à sortir le couteau si on touche à sa famille — bref, personne à prendre à la légère.

Shorter Wong

Shorter, le petit électron libre, il est drôle, impulsif, super fidèle et toujours affamé — tu peux le repérer grâce à son rire et sa manie de courir partout. Il est moins sérieux qu’Ash mais possède un courage étonnant quand ça chauffe, genre il a peur mais il fonce quand même (oui, très contradictoire mais adorable). Il a des idées parfois débiles et se prend pour un stratège, mais au final il t’offre sa loyauté sans condition. Et il adore les sucreries; sérieusement, c’est sa faiblesse.

Ash Lynx

Ash, mon dieu, Ash c’est ce mélange explosif de charisme, traumatisme et pure intelligence — un chef de rue avec une cigarette toujours prête, qui peut sourire et te briser le cœur en une seconde. Il est à la fois calculateur et incroyablement protecteur, surtout envers Eiji, et sa rage est aussi grande que sa tendresse (contradiction éternelle). Frappant, beau, impitoyable quand il faut mais toujours capable d’un geste presque enfantin, genre écouter du jazz à plein volume; oui, il aime le jazz, parfois les glaces — ou pas. Il est la tempête et la lumière à la fois, impossible à résumer et c’est pour ça qu’on l’aime.