À propos du Elfen Lied en quelques mots:

Elfen Lied est une série animée japonaise qui suit l’histoire de Lucy, une Diclonius, une espèce mutante avec des cornes et des pouvoirs télékinétiques. Après s’être échappée d’un laboratoire de recherche, Lucy est blessée et perd la mémoire. Elle est ensuite recueillie par Kouta et Yuka, deux étudiants qui l’aident à retrouver son passé. Cependant, Lucy est traquée par les forces militaires qui veulent la capturer ou la tuer. La série est connue pour son contenu violent et sexuel, ainsi que pour son thème de la discrimination et de l’acceptation de soi.

Découvrez les personnages d’Elfen Lied

Lucy

Lucy, c’est le personnage qui te retourne l’estomac et le cœur en même temps — sauvage, froide et terriblement brisée. Diclonius avec ses vecteurs, elle coupe tout sur son passage mais parfois elle te regarde comme si elle cherchait juste un ami (et ça te fout la chair de poule). Il y a ce côté double personnalité hyper troublant — l’un violent, l’autre enfantin et silencieux — et honnêtement, on ne sait jamais trop lequel va gagner la partie. Elle est tragique, magnétique, et parfois même bizarrement poétique (oui, elle fredonne parfois, je jure).

Kouta

Kouta, c’est le calme plat mais qui cache des orages — doux, protecteur, et un peu perdu dans ses souvenirs, comme si une partie de lui avait été arrachée. Il est le pilier tranquille du groupe, celui qui soigne, qui accueille, qui se tâte avant d’agir, mais quand il faut, il tient tête (pas de façon spectaculaire, plutôt à la Kouta: tenace). Y’a quelque chose de naïf en lui qui te fait sourire et en même temps de lourd, parce que son passé pèse comme un rocher. Et petit détail presque gênant: il a toujours l’air d’avoir une assiette de riz quelque part — pas sûr pourquoi je dis ça, mais bon.

Yuka

Yuka, je l’adore — elle est vulgaire parfois, jalouse souvent, mais terriblement humaine et loyale au fond. Elle s’occupe de la maison, s’énerve vite, balance des répliques qui font mal, mais elle pleure aussi en silence quand il le faut (et ça la rend réaliste). Elle a ce côté “je vais te protéger même si je râle”, tu vois le genre? Parfois elle se comporte comme une grande sœur autoritaire et juste après comme une gamine qui veut qu’on la prenne dans les bras — contradiction agréable.

Mayu

Mayu, petite boule fragile mais résistante, tu veux la prendre et ne jamais la lâcher — elle est timide, parle peu, mais elle aime la vie simple (les sucreries, les animaux, les câlins). Elle a vécu la misère et pourtant garde une innocence presque choquante, ce qui la rend hyper attachante. Elle peut être étonnamment débrouillarde quand il le faut, même si elle paraît souvent perdue; on dirait un petit chat qui apprend à chasser. Oh et elle oublie tout le temps l’heure — vraiment, demandez-lui l’heure et attendez-vous à une réponse floue.

Nana

Nana, c’est la boule d’énergie loyale et un peu naïve — combattante format “je suis mignonne mais je te décapite si tu me cherches”. Elle a ce mélange adorable d’enfance et de sérieux: joueuse, sincère, et prête à assurer la protection des siens avec un sourire (parfois un peu forcé). Elle peut paraître légère, mais ses moments tristes te poignardent quand même, parce que tu sens qu’elle adopte des responsabilités trop grandes pour elle. Et oui, elle collectionne des trucs improbables — timbres, capsules, peut-être des cailloux, qui sait, c’est elle qui l’a dit.

Nozomi

Nozomi est douce, posée, un peu mystérieuse — elle apporte une stabilité tranquille mais cache parfois des petites jalousies (humaines, trop humaines). Elle est gentille avec presque tout le monde, parle calmement et semble toujours savoir quoi dire pour apaiser une tension, même si au fond elle rumine un peu. On sent qu’elle a ses propres blessures, mais elle préfère sourire et cuisiner plutôt que d’en parler (même si parfois elle oublie que ça la ronge). Petit truc mignon: elle adore chanter faux en faisant la vaisselle, et ne se rend pas compte que ça te fait craquer.