À propos du Seraph of the End en quelques mots:

Seraph of the End est une série animée japonaise basée sur un manga populaire. L’histoire suit Yuichiro Hyakuya, un jeune garçon qui a perdu sa famille dans une épidémie qui a décimé la population mondiale. Les survivants sont alors asservis par des vampires qui ont émergé de l’ombre. Yuichiro rejoint une unité de soldats humains qui cherchent à se venger des vampires et à libérer l’humanité de leur domination. La série est remplie d’action, de combats épiques et de personnages attachants qui luttent pour leur survie dans un monde post-apocalyptique.

Découvrez les personnages de Seraph of the End

Yuichiro Hyakuya

Il est une boule d’énergie — impulsif, rageux et incroyablement loyal, prêt à tout pour sa “famille”. Sa haine des vampires est presque mythique dans la série, mais attention, il n’est pas juste colère brute : il a un cœur énorme et des idées parfois étonnamment tactiques (si, si, parfois). Il parle vite, court encore plus vite, et mange des onigiri en courant; je jure que parfois il oublie même où il mettait son arme, haha. Toujours à la limite entre héros tragique et ado bagarreur, il est épuisant et adorable en même temps.

Shinoa Hiragi

Shinoa, la reine du sarcasme et des remarques cinglantes, est à la fois terrifiante et parfaitement relax. Elle mène son équipe avec un flegme délicieux, aime se moquer de Yuu mais s’occupe d’eux comme d’un chat mal coiffé — genre elle joue la détachée mais a un planning secret pour tout. Je la vois bien collectionner des trucs mignons (des stickers? des chaussettes?) mais elle te le niait catégoriquement, et parfois elle joue de la flûte ou je dis n’importe quoi, bref, elle a des hobbies bizarres. C’est du leadership froid-glacé à l’extérieur et en caramel à l’intérieur, et cette contradiction la rend absolument irrésistible.

Yoichi Saotome

Yoichi est la douceur personnifiée — calme, poli, un peu rêveur mais étonnamment précis au tir, comme s’il visait la paix intérieure plutôt que les ennemis. Il a ce côté fragile mais ne te laisse pas l’illusion : quand il doit protéger ses amis il devient solide comme un rocher — timide et héroïque, combo dangereux. Je l’imagine toujours avec une tasse de thé parfaite ou en train de réciter une recette, et parfois il perd ses mots quand il est gêné (trop mignon). Bref, Yoichi c’est le calme dans la tempête, un sourire rassurant et une précision qui te surprend quand tu t’y attends le moins.

Mikaela Hyakuya

Mika, oh Mika — vampire triste, beau comme un tableau et déchiré d’une façon qui te broie le cœur à chaque plan. Il est protecteur au possible envers Yuu, presque obsédé, et en même temps il porte une noblesse froide qui le rend imprévisible (gentil puis monstrueux, souvent dans la même scène). Il refuse parfois le sang mais se retrouve irrésistiblement attiré — oui, contradiction dramatique, et ça marche, on en veut encore. Il parle peu, sauf quand il doit lâcher une ligne qui te plante direct dans l’âme, et il a un sens du style un peu gothique, genre rose noire et manteau long.

Shiho Kimizuki

Shiho, c’est le calme solide de la bande : fiable, sérieux et incroyablement fort quand il le faut. On dirait parfois qu’il a toujours une panoplie de pansements sur lui (il les garde pour tout, pour les coupures comme pour les cœurs), un peu cliché mais adorable, non ? Il ne crie pas beaucoup mais ses actions pèsent, il protège sans faire de bruit et se sacrifie presque sans dramatisation — et ça, c’est rare. Si tu veux un ami qui t’énerve par sa stabilité (et qui te surprend avec des blagues sèches de temps en temps), Shiho est ton type.

Guren Ichinose

Guren est l’exemple parfait du commandant torturé : charismatique, brillant, un peu manipulateur et toujours avec un air de “je sais plus que toi”. Il a cette aura d’adulte fatigué qui a trop d’histoires sur les épaules, pourtant il arrive à être drôle à des moments impossibles — humour noir, of course. Guren prend des décisions froides et efficaces (parfois limite méchantes), mais son attachement aux gens est réel, profond et souvent caché derrière une tasse de café. Il a des habitudes étranges (thé? musique classique? une vieille chanson qui le hante), bref, stratège, blessé, magnifique dans le drame et capable de te faire culpabiliser tout en te sauvant.