À propos du The Pet Girl of Sakurasou en quelques mots:

The Pet Girl of Sakurasou est une série animée qui suit la vie de Sorata Kanda, un étudiant qui vit à Sakurasou, une résidence pour étudiants qui abrite des personnes ayant des difficultés à s’adapter à la vie en société. Un jour, une nouvelle locataire arrive à Sakurasou, Mashiro Shiina, une artiste talentueuse mais incapable de prendre soin d’elle-même. Sorata se retrouve chargé de s’occuper d’elle, ce qui le met dans des situations hilarantes et émouvantes. La série explore les thèmes de l’amitié, de l’amour et de la poursuite de ses rêves.

Rencontrez les personnages de Sakurasou

Mashiro Shiina

Mashiro, c’est un mystère adorable en robe trop propre — une artiste prodige qui a l’air d’avoir oublié comment marcher parmi les humains. Elle peint comme si chaque coup de pinceau savait déjà sa vie, et en même temps elle oublie où elle a posé ses chaussures (vraiment, qui laisse ses chaussures sur le toit ?). Parfois froide et distante, parfois hyper directe (elle dira ce que tout le monde pense mais pire), mais toujours sincère, ce qui la rend impossible à détester. Ah et elle adore les chats ou bien elle les ignore totalement, ça dépend du jour — je suis sûr qu’elle a un carnet secret avec des doodles bizarres.

Nanami Aoyama

Nanami est la fille bosseuse par excellence, du genre à empiler des jobs et des cours comme si c’était des badges de bravoure — épuisante mais trop attachante. Elle a ce côté sérieux et responsable, mais éclate aussi en panique devant la moindre compétition romantique (bonjour jalousie express). Elle tient à son indépendance comme à une bouée, tout en étant incroyablement douce quand il s’agit d’aider les autres; fragile mais combattante, tu vois le tableau. Et voilà que parfois elle se met à kiffer des trucs clichés (romcoms? biscuits? un truc qu’elle nie toujours), je vous jure c’est tout un feuilleton.

Ryuunosuke Akasaka

Akasaka, c’est le génie silencieux branché sur 0% social 100% wifi — clavier, écran, et mystère. Il parle rarement face à face (ou plutôt, il parle par écran, ou par messages, ou par signaux secrets, c’est flou) et pourtant on sent qu’il comprends tout mieux que tout le monde; genre, il capte les petites fissures dans le groupe. Paradoxalement il a des tics d’enfant et des blagues nulles qu’il ne lâchera jamais — il fait genre impassible mais il a des habitudes étranges (on dirait qu’il collectionne des stylos dépareillés). Bref, l’ermite technophile qu’on voudrait serrer dans ses bras et en même temps qu’on admire à distance.

Jin Mitaka

Mitaka, c’est le prof/mentor un peu louche mais fondamentalement sympa qui dit des choses profondes en fumant une cigarette imaginaire — ou pas, je sais plus. Il a ce charme un peu râleur, ambiance “je vous secoue” mais en vrai il pousse les gens à se dépasser (à sa façon, souvent maladroite). Il raconte des anecdotes douteuses, boit trop de café et donne des conseils qui marchent parfois, parfois non — style professeur/ancien rockeur dissimulé. Et je jure qu’il a une paire de chaussures ridicules qu’il porte quand il est ému, c’est pas une blague, j’ai des preuves dans ma tête.

Misaki Kamiigusa

Misaki, c’est l’explosion d’énergie, hyperactif, talent fou et drama queen à temps plein — elle vous emporte, que vous vouliez ou non. Elle est actrice, créative, criante de vie, adore les gifs, et peut passer de “je t’aime” à “je te déteste” en cinq secondes platine (mais c’est mignon). Elle est incroyablement talentueuse et en même temps parfois immature, genre talent + chaos = Misaki; et elle se plaint des règles mais les applique à sa manière. Et puis elle collectionne des trucs bizarres (pin’s, figurines, brosses?), alors oui, universe Misaki forever.

Maid-chan

Maid-chan, ok c’est la figure trop mignonne et bizarre à la fois — genre maid officieuse qui débarque avec un sourire trop parfait et des serviettes pleines de mystère. Elle est douce, serviable, mais parfois terriblement directe (et oui, elle sait pimenter une conversation en un clin d’oeil). Elle paraît toujours très organisée (tablier propre, gestes précis), puis laisse traîner des miettes ou oublie une tâche — ce contraste la rend encore plus attachante. Ah et elle parle parfois comme si elle lisait un script, ou peut-être que c’est juste une impression, bref j’adore son ambiguïté.

Sorata Kanda

Sorata, le coeur battant de tout le drama, le type qui s’occupe de tout le monde en se perdant souvent lui-même — héro quotidien sans cape (sauf parfois un sweat trop grand). Il est déterminé, plein de bonnes intentions, un peu maladroit et ultra sensible; il gère des montagnes d’ennuis et de tendresse en même temps. Il veut réussir, il doute, il pleure, il sourit, parfois il est super mature et une seconde après il boude comme un gosse, c’est pour ça qu’on l’aime. Et il a ce truc bizarre avec les ramen ou les photos (ou les deux), j’arrive jamais à me souvenir mais c’est typiquement lui.