À propos du Kengan Ashura en quelques mots:

Kengan Ashura est une série animée japonaise qui suit l’histoire de Tokita Ohma, un combattant de rue redoutable, qui est recruté par un homme d’affaires mystérieux pour participer à des combats de gladiateurs souterrains. Les combats sont organisés pour résoudre les différends entre les entreprises et les hommes d’affaires japonais. Tout au long de la série, Ohma devra affronter des adversaires redoutables, tout en découvrant les secrets de son passé et en luttant pour sa survie dans ce monde impitoyable. La série est remplie d’action, de suspense et de rebondissements, faisant de Kengan Ashura une série animée captivante et passionnante.

Découvrez les personnages de Kengan Ashura

Ohma Tokita

Ohma, c’est l’explosion sur pattes — imprévisible, bestial et incroyablement charismatique, tu sens tout de suite qu’il peut tout renverser en un instant. Il se bat comme s’il avait faim depuis trois jours (vraiment, il parle souvent de viande et de nouilles comme si c’était de la philosophie), mais il a des moments étonnamment vulnérables où il devient presque doux. Y’a un mystère qui le suit, des bouts de son passé qui sifflent encore, et il sourit comme s’il complotait quelque chose — parfois il est gamin, parfois philosophe, et souvent les deux. Sérieusement, impossible de s’ennuyer avec lui, il bouscule tout le monde et puis mime des bruits d’animaux quand il est content (oui, vraiment).

Kazuo Yamashita

Kazuo, c’est le petit salarié timide qui se retrouve parachuté dans un monde de bourrins géants et qui s’en sort mieux que prévu — maladroit mais tenace. Il a ce côté papa poule malgré lui, toujours à s’inquiéter pour les autres, à préparer des bentos ou à perdre ses clés (toujours). Paradoxalement il peut être terriblement courageux à l’intérieur, une sorte de supportrice calme qui sait quand faire front; et puis il raconte des anecdotes de son travail comme si c’était une saga épique. Ah, et il adore le thé vert — parfois trop, parfois jamais assez, j’ai l’impression.

Hideki Nogi

Nogi, le vieux renard calculateur, sérieux, élégant, sourcils qui te jugent à dix mètres — il a ce charme froid de patron qui sait tout avant même que tu penses le dire. Stratège né, il chante rarement ses plans mais quand il parle, les gens écoutent; il a aussi un humour sec qui te surprend (genre, il lâche une vanne et tu te dis “ah”). Il peut paraître implacable mais il a ses petites faiblesses humaines, genre collectionner des tasses à thé ridicules — ne le prenez pas trop au sérieux quand il se met à rire. Bref, pilier du business et un peu grincheux, mais avec un sens du style impeccable (et ses costumes sont toujours nickel, même après un match chaotique).

Kaede Akiyama

Kaede c’est la manager qui ne plaisante pas — douce mais ferme, protectrice au point d’être terrifiante quand quelqu’un touche à ses protégés. Elle sait organiser, calmer les tempêtes et préparer des plats qui réconcilieraient un ours avec l’humanité (oui, ses bentos sont légendaires, rumeurs non vérifiées). Parfois elle perd patience et pète un plomb très classe, puis cinq minutes plus tard elle te sert un dessert avec un sourire maternel; contradiction adorable. J’adore qu’elle puisse aussi être un peu tête en l’air sur des détails futiles, comme oublier son portable mais pas son plan de match.

Lihito

Lihito, c’est la nervosité incarnée — électrique, obsédé par la technique, hyper précis et terriblement fier de ses progrès (il te récite ses routines alimentaires comme si c’était un poème). Il a ce regard intense qui hurle “je vais m’améliorer”, toujours en train de se surpasser, mais aussi capable d’un fou rire inattendu au milieu d’un entraînement. Il est parfois bizarrement tatillon sur ce qu’il mange (légumes, protéines, organisation militaire), puis trois heures plus tard il commande un burger XXL en secret — hypocrisie mignonne ou vraie faiblesse, on sait pas. Bref, fanatique du travail bien fait et définitivement quelqu’un qui dort deux heures mais parait hyper éveillé.

Jun Sekibayashi

Jun est le calme olympien, technique propre et classe froide, on dirait un couteau bien aiguisé sur ring. Il respire discipline et tradition, mais attention, il y a une facette assez humaine qui aime les petites douceurs après l’effort (thé et wagashi, peut-être pas en plein combat mais vous voyez l’idée). Il semble ne jamais perdre son sang-froid, mais parfois il se laisse aller à des réflexions mélancoliques — un peu mystérieux, un peu poète, et ça surprend tout le monde. Et oui, il a probablement une playlist bizarre qu’il écoute pour se concentrer (j’imagine du jazz ou des sons de la nature), donc très classe mais avec des hobbies chelous.

Cosmo Imai

Cosmo, le petit génie rapide, inventive façon ninja des anneaux; vous le regardez et vous comprenez qu’il va trouver une ouverture où personne ne l’attend. Il mélange techniques flow et improvisation, presque artistique dans sa manière de se battre, genre danseur qui a mangé trop de ramen. Il est un peu exubérant, parle vite, a des tics étranges (toujours à trifouiller quelque chose sur lui), et parfois il boit des boissons énergisantes douteuses mais jure que c’est de l’eau. Bref, on le sous-estime à ses risques et périls — et il te sourit comme s’il venait de te voler ton déjeuner.

Setsuna Kiryū

Setsuna, visage de pierre, force brute et précision chirurgicale, il a cette aura de prédateur calme qui te glace un peu — respect total. Il garde tout pour lui, parle peu, se déplace avec une efficacité presque mécanique, mais de temps en temps il laisse transparaître une obsession (revenge? honneur? on n’est pas sûrs) qui rend tout plus intense. Paradoxalement il collectionne des trucs mignons chez lui (des petites figurines? des carnets?) et ça casse le mythe juste assez pour qu’on adore le personnage encore plus. En combat, c’est clinique; hors combat, parfois un peu gauche avec les gens — on dirait qu’il a appris les interactions sociales dans un manuel usé.