À propos du Ranking of Kings en quelques mots:

Ranking of Kings est une série animée japonaise qui suit la vie de Bojji, un prince sourd et muet qui est considéré comme inutile par son père, le roi. Malgré cela, Bojji rêve de devenir un grand roi et est déterminé à prouver sa valeur. La série suit son voyage pour devenir un dirigeant compétent et bien-aimé tout en surmontant les obstacles et les défis qui se dressent sur son chemin. La série est saluée pour sa représentation positive des personnes handicapées et pour son animation époustouflante. Elle est considérée comme l’une des meilleures séries animées de l’année 2021.

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Bojji

Bojji, c’est ce genre de personnage qu’on veut serrer fort et aussi laisser partir en même temps, vous voyez ? Timide, petit, mais d’une bravoure tranquille — il avance comme si chaque pas pesait une tonne et voilà que ça devient inspirant. Il est silencieux (enfin, pas littéralement tout le temps, mais presque), adore les sucreries, et a un sens de l’honneur qui te fait pleurer à la fin d’un épisode — oui, je pleure souvent, faut l’admettre. Et puis il y a cette naïveté adorable qui cache une volonté de fer; il sourit à tout, sauf aux brocolis, je crois.

Daida

Daida, omg, c’est l’excès vivant — flamboyant, dramatique, genre « regardez-moi, je suis roi ! » mais avec une dose de vulnérabilité qu’il essaie tellement de camoufler que ça en devient mignon. Il peut être manipulateur, oui, mais aussi terriblement généreux (sérieusement, parfois il paie pour tout le monde et il refuse de l’admettre). Il adore les tenues tape-à-l’œil et doit avoir une collection secrète de chapeaux — ou peut-être que je confonds avec quelqu’un d’autre, mais j’aime y croire. Paradoxalement, il veut contrôler tout le monde et en même temps il demande constamment d’être aimé.

Hiling

Hiling, la reine stratégique qui te calmement te découpe en tranches de logique si tu t’écartes du plan — froide en apparence, mais avec des accès de tendresse surprenants (thé et biscuits après une bataille, oui, elle fait ça). Elle inspire le respect parce qu’elle sait quoi faire, quand, et surtout pourquoi; une commandante née, un peu perfectionniste et très chic, je jure qu’elle a des gants pour chaque situation. Parfois elle est presque trop sérieuse, puis bam, moment d’humanité: elle parle aux fleurs ou s’énerve contre un coussin, je ne sais pas, c’est adorable. Ah, et elle garde toujours une épingle à cheveux sur elle, pour le drame ou pour la guerre, selon l’humeur.

Domas

Domas, le type tranquille mais imposant — on dirait un rocher qui raconte des blagues absurdes à minuit. Loyal jusqu’à la moelle, avec un appétit qui ferait honte à un ogre (il aime manger, beaucoup), mais attention, pas juste un gros mangeur: il cuisine aussi, genre plat réconfortant et sincère. Il parle peu, mais quand il parle, c’est pour lâcher une phrase tellement droite et simple que tout le monde comprend enfin ce qui compte. Et malgré sa carrure de garde du corps, il a un côté maladroit (une fois il a essayé de tricoter, oui vraiment) qui le rend humain.

Bebin

Bebin, petit rayon de soleil hyperactif et un peu chaotique — il pétarade d’idées, change d’opinion toutes les deux minutes et t’embarque avec lui parce que son enthousiasme est contagieux. Il est malin, pas méchant, plutôt du genre à bricoler des plans farfelus qui marchent par chance (ou parce qu’il a flairé l’astuce, qui sait). Il adore les animaux, collectionne des bricoles inutiles et a un rire qui revient au bon moment; parfois il parle trop, d’autres fois il disparaît pour réfléchir et revient mystérieusement plus sage. Et oui, il pourrait aussi être responsable d’un incident incongru avec des pigeons — je l’ai vu, ou je crois l’avoir vu.

Kage

Kage, noir, sarcastique et totalement indispensable — il a l’air blasé tout le temps mais il est hyper protecteur (genre espion ombragé qui te sauve en roulant des yeux). Il balance des piques, il porte des secrets, et il est incroyablement fidèle à Bojji, même si naturellement il feint l’indifférence; j’adore cette contradiction ! Parfois il aime la lumière (ça n’a pas de sens, c’est nullement logique, mais je le jure), et il adore les ragots — surtout les trucs qui impliquent des gâteaux. Bref, mystérieux mais avec un cœur bizarrement grand, et parfois il mange des choses étranges (des miettes? des papiers? on ne sait pas).