À propos du Platinum End en quelques mots:

Platinum End est une série animée qui suit la vie de Mirai Kakehashi, un adolescent qui a été poussé à bout et qui décide de se suicider. Cependant, il est sauvé par un ange nommé Nasse qui lui offre la chance de devenir un dieu. Mirai est alors entraîné dans une bataille pour devenir le prochain dieu de l’univers, aux côtés d’autres candidats qui ont également été choisis par les anges. La série explore les thèmes de la vie, de la mort, de la morale et de la responsabilité ainsi que les choix difficiles auxquels les personnages sont confrontés.

Découvrez les personnages de Platinum End

Mirai Kakehashi

Mirai, oh Mirai, c’est le gars qu’on veut tous avoir dans son coin — timide au départ, cassé par la vie mais avec une bonté qui refuse de mourir. Il bascule entre douceur morale et décisions presque désespérées, tu sens tout le temps cette lutte intérieure, comme s’il essayait de tenir deux mondes en équilibre sur une cuillère. Parfois il se révèle étonnamment dur, puis il redevient cet ado maladroit qui aime cuisiner (même s’il brûle souvent les omelettes, oui vraiment). Franchement, il est à la fois super attachant et tragiquement humain, et on le pardonne tout parce qu’il essaie toujours de faire ce qui lui semble juste — même si c’est souvent une catastrophe comique.

Nasse

Nasse est l’ange-qui-semple-une-poupée et en même temps une petite tornade adorable — mi-mielleuse, mi-autoritaire, elle t’offre des ailes puis te regarde comme si c’était la chose la plus normale du monde. Elle parle comme une gamine qui mange trop de bonbons (et probablement elle en mange en vrai, j’en suis sûr), mais derrière ce sourire il y a une logique froide et très efficace; elle n’hésite pas à manipuler pour protéger son humain. Il y a ce côté décalé où elle est incroyablement loyale et bizarrement possessive, genre « c’est mon humain, point final », ce qui est à la fois mignon et un peu terrifiant. Bref, elle est adorable, impénétrable et surtout dangereusement intelligente — et j’ai l’impression qu’elle porte des chaussettes rayées quand il fait froid (ça n’a aucun sens, mais je l’imagine).

Saki Hanakago

Saki, quelle boule d’énergie — directe, parfois acerbe, toujours franche, et étonnamment pleine de nuances si on gratte un peu sous la surface. Elle peut paraître superficielle au lycée, mais elle a une loyauté de pierre pour ceux qu’elle aime; elle dit des choses cruelles, puis arrive à se sentir coupable cinq minutes après, c’est un vrai yo-yo émotionnel. Elle collectionne les petites vengeances et les sourires sincères à la fois, comme si elle jouait à être méchante pour cacher qu’elle est blessée, ou peut-être qu’elle est juste dramatique — difficile à dire, et j’adore ce flou. Oh, et je l’imagine toujours avec un sac à main un peu trop grand où elle planque des trucs improbables (un rouge à lèvres, un ticket de métro, un mini-doudou ?).

Revel

Revel, c’est le calme glaçant qui te regarde comme si tu étais un pion sur un échiquier, et tu sais tout de suite que ce n’est pas une bonne idée de lui tourner le dos. Calculateur, presque théâtral, il prend plaisir à orchestrer les choses comme un metteur en scène sarcastique — froid mais fascinant, il t’explique ses plans avec une politesse clinique. Paradoxalement, il a des petites manies humaines, du genre à aimer le thé à une température exacte et à hocher la tête en sifflotant une chanson que personne n’attendrait de lui; ça le rend encore plus étrange. En bref: élégant, terrifiant et mystérieux, avec ce côté « je sais mieux que toi » qui donne envie de le détester et de le décoder en même temps.