À propos du Cyberpunk: Edgerunners en quelques mots:

Cyberpunk: Edgerunners est une série animée qui se déroule dans un monde futuriste dystopique où la technologie a pris le dessus sur l’humanité. L’histoire suit un groupe de mercenaires appelés les Edgerunners qui travaillent dans les bas-fonds de la ville de Night City. Ils sont engagés pour des missions dangereuses et illégales qui les plongent dans une lutte pour leur survie et pour la justice dans une ville corrompue. La série est basée sur l’univers du jeu vidéo Cyberpunk 2077 et promet d’être remplie d’action, de suspense et de rebondissements.

Rencontrez les personnages de Cyberpunk: Edgerunners

Doc

Doc, c’est ce vieux ripperdoc un peu crade mais incroyablement doué — genre, mains d’or et bureau un peu flippant, tu vois ? Il parle comme un oncle bourru (et parfois il chante des airs ridicules sous la douche, oui vraiment), mais il te recoud la chair et te branche des augmentations comme personne. Sa loyauté est étrange, il est à la fois papa cool et marchant sur la ligne morale, parfois il donne des conseils de vie, parfois il te facture une pièce détachée en trop — humain et machine, tout mélangé. Ah, et il adore le thé, ou était-ce le café ? J’oublie toujours.

Adam Smasher

Adam Smasher c’est l’énorme masse de métal ambulante, l’archétype du bad guy cybernétique — froid, impitoyable, absolument terrifiant. Il ne parle pas beaucoup mais quand il bouge, tout le monde ferme sa gueule; on sent que la moindre frappe est finale, sans appel. Paradoxalement, on aurait presque envie de lui trouver une petite histoire d’enfance (non, sérieusement, il a un côté cartoon méchant — un méchant qui collectionne peut-être des pin’s? ou pas). En tout cas, il représente la pure violence technologique, et c’est génial et flippant en même temps.

Kiwi

Kiwi est la tueuse professionnelle calme et distante, genre regard de glace et gestes précis, on se sent observé en permanence. Elle fume, elle boit peut-être du thé vert, elle écoute des vinyles bizarres à 2 h du mat (ok j’invente un peu, mais c’est l’ambiance), elle a ce détachement artistique qui la rend fascinante. Elle est hyper efficace, presque clinique, mais parfois tu remarques une petite attention (un ruban mal noué, un mot glissé) et tu te dis « ah, elle n’est pas juste une machine ». Mystérieuse, cool, et dangereuse — mon personnage préféré quand j’ai envie d’esthétique froide.

Maine

Maine c’est le père de la bande, le gros baraqué avec un rire tonitruant et des prothèses qui font peur, mais putain il protège les siens comme personne. Il peut être brutal, sans subtilité, mais il a ce cœur énorme (et parfois il pleure devant des films romantiques, oui j’y tiens), il aime les bêtises, les paris stupides et… les karaokés lourds? Bref, il est chef, il fait les plans et les casses, et quand il entre dans une pièce tout le monde le sent venir — présence massive. Et puis il y a ce côté tragique, on le sent destiné à des choses plus grandes (et plus douloureuses).

Falco

Falco est le gars sympa du crew : geek, pilote de quartier, un peu rêveur et toujours prêt à aider, sérieux il te sourit et tu veux lui faire un câlin. Il a des tics bizarres (appuie toujours sur la même touche de son clavier — oui, j’ai remarqué), il adore la musique, parfois bouge comme s’il avait du sable dans les chaussures, bref, il est vivant. Il n’est pas le leader, mais il est indispensable, le glue humaine, le copain fidèle qui croit encore aux belles choses même dans ce bordel cyberpunk. Il est un peu maladroit, un peu chanceux, et étrangement attachant.

Faraday

Faraday, le type propre sur lui, agenda, sourire glacial — un cerveau de corporation qui joue avec des vies comme on joue aux échecs. Il a des phrases mesurées, une garde-robe impeccable et cette façon de t’expliquer la logique du monde comme si tu étais un élève un peu mou. Terriblement manipulateur, il adore les plans tordus et les coups de théâtre, et on se demande parfois s’il a un cœur (probablement caché dans une vitrine quelque part). J’adore le détester, parce que c’est le genre qui te fait applaudir quand il se prend un plan foireux — mais il le refera, évidemment.

David

David, oh David, le gosse qui veut tout manger le monde — impulsif, brûlant d’ambition, un peu naïf et complètement attachant, on souffre avec lui tout le long. Il veut être fort, reconnu, il cherche sa place et parfois ses décisions sont catastrophiques (mais c’est pour ça qu’on l’aime), il rigole fort et ensuite il pleure, tout de suite. Il a ce mélange d’énergie juvénile et de rage, des rêves de grandeur et une tendance à manger des nouilles instantanées même quand il pourrait s’acheter un resto (cliché mais vrai ?). C’est un protagoniste qui te prend au ventre, qui fait des erreurs énormes et continue d’avancer comme si de rien — ou presque.

Lucy

Lucy est l’énigme douce: netrunner silencieuse, mystérieuse, capable de silence total et de piratage élégant — elle a l’air fragile mais elle est coupée d’acier. Elle parle peu, regarde beaucoup, et ce désir de s’envoler (littéralement, vers l’espace) la rend poétique; elle collectionne peut-être des étoiles en papier, ou juste des playlists tristes. Elle est fragile avec David mais aussi implacable quand il faut, genre cœur de soie et nerfs d’acier en même temps — contradiction parfaite. Bref, elle est belle, dangereuse et très triste, et j’en voudrais plus sur elle tout le temps.