À propos du Coraline en quelques mots:

“Coraline” est un film d’animation visuellement époustouflant et évocateur réalisé par Henry Selick, basé sur le roman de Neil Gaiman. En s’aventurant dans une réalité alternative mystérieuse, la jeune Coraline Jones fait face à un monde étrangement similaire mais perturbant différent du sien. Ici, elle doit affronter ses peurs et défier un antagoniste insidieux qui souhaite la garder pour toujours. Avec son style d’animation unique et une histoire captivante, “Coraline” est un mélange fascinant de fantasy et d’horreur.

Découvrez les personnages de Coraline

Coraline Jones

Coraline est une tornade curieuse avec une lampe de poche et un sens de l’aventure qui frise l’irréel — elle file explorer partout, parfois au détriment du bon sens, et tu l’aimes pour ça. Elle a un côté obstiné, elle dit “non” comme un mantra mais ensuite elle retrousse ses manches et sauve tout le monde, ou du moins essaie, souvent en grognant. Elle est sarcastique, pas du tout une héroïne parfaite, parfois un peu en retrait, parfois complètement intrépide (et oui, ses ongles sont parfois peints en bleu, parfois pas, qui sait). Il y a chez elle une tendresse cachée, surtout pour les petites choses bizarres, et on sent qu’elle se fiche de bien paraître — elle veut juste comprendre et ne pas être oubliée.

The Cat

Le Chat, sérieux, c’est LE personnage qui te regarde avec des yeux qui en savent trop; il est si calme qu’on se demande s’il dort jamais ou s’il complote seulement pour l’amusement. Il se balade entre les mondes comme si c’était un trottoir et il te balance des répliques froides, sarcastiques, parfois philosophiques — souvent il parle de façon presque humaine, parfois il reste muet, parce que pourquoi pas. Il paraît indifférent mais il apparaît toujours pile quand il faut (ou pas), et il adore jouer les mystères mystérieux, genre “je sais tout mais je te laisserai galérer”. Franchement, c’est l’anti-héros félin, un peu menteur sur les bords, très malin, et un poil arrogant — mais on l’adore.

Other Mother

L’Autre Mère, attention, c’est la fausse gentillesse en robe — elle te promet des choses parfaites avec des boutons à la place des yeux et un sourire qui colle un peu. C’est manipulatrice, obsédée par le contrôle, capable de douceur chaleureuse et d’un crochet glacial dans la seconde d’après; elle change de ton comme on change de chanson. Elle adore “prendre soin” mais en fait c’est plutôt étouffer, tricotant des pièges doux et des décors parfaits pour mieux enfermer; et oui, elle sait imiter chaque mot comme si elle passait un casting pour la meilleure maman. Parfois elle paraît presque triste, parfois monstrueuse, parfois terriblement ennuyeuse — un vrai caméléon émotionnel et complètement flippant, voilà.

Mr. Bobinsky

Monsieur Bobinsky est l’excentrique du quartier, genre inventeur de numéros de cirque à domicile avec des souris acrobates et un accent improbable (ou était-ce un vieux chapeau ?). Il est bavard, enthousiaste, un peu distrait, et capable de raconter une histoire absurde pendant dix minutes avant de revenir au point — sauf qu’il ne revient peut-être jamais, parce qu’il a déjà oublié où il va. Il respire le spectacle et la bizarrerie, adore se mettre en scène et prétend être un grand philosophe des sauts périlleux, mais il a aussi des moments de vraie gentillesse inattendue. C’est le mélange parfait entre un oncle farfelu et un showman qui ne sait pas trop pourquoi il est si sérieux parfois.

Wybie

Wybie, awkward mais loyal, c’est le gamin du quartier qui a l’air d’être tombé d’un roman d’aventures — un peu grincheux, souvent maladroit, mais essentiel pour faire avancer l’histoire. Il est curieux, parfois trop bavard, parfois muet comme une tombe (selon la version, oui, ça dépend), et il a ce mélange “je suis bizarre mais sympathique” qui le rend attachant. Il donne des objets énigmatiques, pose des questions gênantes et finit par se montrer plus courageux qu’il ne le croyait possible; parfois il pue un peu (ok, peut-être que non), mais il a un grand cœur. Bref, il est le pote un peu casse-pieds mais qui te suit jusqu’au bout, et c’est exactement ce dont Coraline a besoin — même s’il n’a jamais appris à être discret.