À propos du Big City Greens en quelques mots:

‘Big City Greens’ est une série télévisée comique animée qui met en scène les aventures amusantes et les défis auxquels est confronté un garçon de campagne nommé Cricket Green et sa famille lorsqu’ils déménagent de la campagne à la vaste jungle urbaine de Big City. Avec des récits émouvants sur la famille, les ajustements et les amitiés inattendues, la série mélange magnifiquement la vie rurale et urbaine, dépeignant à la fois le choc et la coexistence de deux mondes radicalement différents.

Rencontrez les personnages de Big City Greens

Cricket Green

Cricket est l’archétype du gamin rural débarqué en ville et totalement hypé par tout ce qui bouge — sérieusement, il court après des cafards comme d’autres collectionnent des timbres. Il déborde d’idées, parfois complètement folles (fusées en boîte de conserve? oui), et il a une passion étrange pour les inventions qui ne fonctionnent pas toujours… mais souvent oui, surprise. Il est incroyablement loyal, naïf mais malin à sa manière, tu sens qu’il va improviser une solution improbable à un problème que personne n’aurait vu venir. Et puis il a ce sourire exagéré, il parle fort, il est peut-être allergique aux chaussures propres, je n’ai jamais su en fait.

Tilly Green

Tilly est un tourbillon de bonne humeur et d’imagination — costuming queen, princesse d’objets perdus, et probablement la seule capable de convaincre un pigeon d’entrer dans un plan. Elle est douce et bizarroïde, avec des obsessions pour les licornes ou les pierres magiques (elle en a sûrement une dans sa poche, ou pas). Tilly est douce comme un cupcake mais elle peut aussi être étonnamment stratégique quand il faut défendre ses proches; parfois elle parle comme une poétesse, parfois comme une pirate, c’est très flou et très charmant. Ses idées n’ont pas toujours de sens logique, mais elles font toujours une scène mémorable, et je veux dire, qui ne voudrait pas d’un discours de Tilly à 3 heures du matin ?

Bill Green

Bill, le père, c’est le bonhomme robuste avec le cœur en or coincé sous une grosse moustache et des pouces toujours occupés (bricolage, cris, réconfort — pas forcément dans cet ordre). Il veut que tout soit bien fait, il bosse dur, il a ce sens du devoir qui frôle parfois l’obsession, mais il est aussi étonnamment maladroit quand il s’agit d’exprimer ses sentiments. Parfois il hurle, parfois il câline, et parfois il confond les deux, donc attention aux ours en peluche volants; il adore raconter des anecdotes de sagesse douteuse mais elles marchent étrangement. Il aime le café fort, le bacon, et probablement construire une clôture qui résout tous les problèmes du quartier (selon lui).

Gramma Alice Green

Gramma Alice est l’incarnation de la vieille école qui t’apaise avec une tarte au sucre puis te propose de t’apprendre à manier une tronçonneuse — elle est imprévisible mais carrément adorable. Elle est coriace, n’a pas peur de dire les choses, collectionne des trophées bizarres (ou des histoires de guerre, on n’est pas sûr) et elle a un sens de l’humour très sec, genre pâte de campagne. Paradoxalement, elle peut être tendre comme une grand-mère modèle et en même temps te lancer un regard qui dit « je peux réparer ta vie avec de la ficelle et du fer à cheval ». Elle tricote parfois, mais je jurerais l’avoir vue construire un piège à lapins avec des boîtes de conserve la semaine passée — classy et sauvage, tout à la fois.