À propos du Scott Pilgrim Takes Off en quelques mots:

“Scott Pilgrim Takes Off” est une série animée qui devrait faire ses débuts sur Netflix, réalisée grâce aux efforts conjoints du dessinateur canadien Bryan Lee O’Malley, de BenDavid Grabinski et du réalisateur Edgar Wright. La série s’inspire des romans graphiques Scott Pilgrim et voit le retour de la distribution de l’adaptation cinématographique de 2010. Avec une animation du célèbre studio Science Saru, responsable d’œuvres telles que “Devilman Crybaby” et “Star Wars: Visions”, cette série est vivement attendue par les fans et les nouveaux venus.

Découvrez les personnages de Scott Pilgrim Takes Off

Scott Pilgrim

Scott, c’est ce type qui a l’air d’avoir gagné la vie en jouant à des jeux vidéo et en mangeant des tacos, mais qui en fait essaie juste de comprendre comment grandir — enfin, quand il ne se bat pas contre des ex maléfiques! Il joue de la basse comme s’il lançait des sorts, est à la fois maladroit et étonnamment charismatique (souvent dans le même mouvement). Il se donne des airs de cool mais trébuche sur ses propres shoelaces émotionnels — littéralement, parfois il perd ses chaussures, je jure. Il est égoïste par moments, incroyablement loyal à d’autres, et il a une collection étrange de casquettes anciennes (ou peut‑être c’est juste un seul béret, je ne sais plus).

Ramona Flowers

Ramona est l’énigme roulante, littéralement: rollerblades, valise, change de couleur de cheveux toutes les cinq minutes et porte toujours un air de mystère (et parfois des chaussettes dépareillées). Elle paraît froide mais elle garde des petits gestes incroyablement tendres, genre elle oublie ton anniversaire mais te prête son chargeur quand tu es au bord du crash — paradoxal, non? Elle a un passé compliqué avec des ex qu’il vaut mieux ne pas réveiller, mais elle fuit rarement sans laisser une carte postale ou un ticket de métro bizarre. Bonus étrange: elle collectionne peut‑être des timbres, peut‑être des pins, parfois j’ai l’impression qu’elle aime les tacos, mais je fabule un peu.

Wallace Wells

Wallace, la légende: coloc parfait, sarcastique, flamboyant et qui te dit la vérité même si ça fait mal (avec style et un martini, souvent). Il passe son temps à commenter les drames comme un critique de cinéma mélangé à un grand frère sarcastique — il sait tout, il organise tout, et il ne dort jamais vraiment? Il est incroyablement loyal à Scott (même quand il le traite comme un idiot) et semble toujours avoir une anecdote gênante en réserve. Oh et il a un goût douteux pour les vestes et pour les noms de cocktails improbables — et je le soupçonne d’être champion du monde des memes internes.

Kim Pine

Kim est l’incarnation de la batterie sèche et du regard noir; elle frappe les fûts comme si elle frappait les mauvaises intentions des gens — froide, grinçante, absolument iconique. Son humour est sec au possible, elle grogne plus qu’elle ne parle parfois, mais elle est aussi la colonne vertébrale (musicale et morale) de l’équipe, même si elle le ferait jamais admettre. Elle fume, boit du café comme si sa vie en dépendait et collectionne des playlists mélancoliques (ou c’était des post‑it? bref). Paradoxalement, elle a des moments de douceur qui te surprennent — oui, la même Kim qui a un jour laissé un mot mignon sur un frigo (ou alors c’était un cauchemar, qui sait).

Stephen Stills

Stephen est le rocker propre sur soi: gilet parfait, confiance débordante, chanteur‑guitariste qui aime être sous les projecteurs et qui pense que tout doit sonner mieux immédiatement. Il est ambitieux, parfois un peu prétentieux (bon, souvent), mais il a ce truc de leader qui rassemble le groupe quand ça part en cacahuète. Il est sérieux sur la musique mais bizarrement flippant avec les plantes — il en a une, ou deux, ou une collection entière dans son van? — je mélange tout. On l’aime parce qu’il bosse dur, se remet en question (parfois) et porte des bandes‑épaules ridicules avec fierté.

Knives Chau

Knives, c’est la boule d’énergie adorable qui commence comme fangirl numéro un et devient étonnamment autonome; elle est à la fois naïve et redoutable (dans le bon sens). Elle a un enthousiasme contagieux, un talent pour les phrases longues et dramatiques, et une propension à acheter des armes improbables en ligne (non, sérieux, des épées? peut‑être). Elle évolue énormément — on la voit grandir, construire sa vie, acheter des stickers, se fâcher pour de bonnes raisons et pardonner parfois trop vite; bref, elle est surprenante. Petite touche bizarre: elle adore les chats mais pourrait aussi collectionner des pins politiques, je ne sais plus lequel c’est, mais c’est clairement elle.