À propos du 86: Eighty Six en quelques mots:

86 est une série d’anime qui suit l’histoire de la République de San Magnolia, un pays qui est en guerre contre les Légions de l’Empire. Les Légions sont des armées de robots contrôlés par des intelligences artificielles et sont considérées comme invincibles. Cependant, les 86, un groupe de personnes considérées comme inférieures par la société, sont les seuls capables de vaincre les Légions. La série suit l’histoire de Shin, un jeune homme qui rejoint les 86 et qui se bat pour sa survie et celle de ses camarades, tout en cherchant à découvrir la vérité sur la guerre.

Rencontrez les personnages de 86: Eighty Six

Shinei Nozen

Shinei, c’est ce genre de leader silencieux qui te cloue sur place sans crier victoire — il est dur comme l’acier mais y’a une tendresse maladroite qui perce parfois, vraiment. Toujours la même expression grave, des cicatrices qui racontent plus d’histoires que lui-même (il t’en racontera deux, trois fois, puis changera d’avis), et cette loyauté à toute épreuve pour son équipe. Il est stratège, calculette froide quand il le faut, et pourtant il chante des trucs bizarres pour se calmer — oui, des chants de bataille? ou des chansons pour enfants? jure que c’est des chants de guerre, mais bon. Bref, mystérieux, imposant, et terriblement aimable à sa façon tordue (et parfois il est étonnamment maladroit avec les tasses).

Vladilena Mirize

Lena, oh Lena — incroyablement douce et terriblement déterminée, la voix de la raison qui veut croire en la justice même quand tout pue la politique. Elle est brillante, compatissante, un peu gauche socialement parfois (elle offre des cookies dans des réunions de guerre, je ne plaisante pas), et se retrouve souvent à bousculer les règles juste parce qu’elle croit que c’est la bonne chose à faire. Elle parle aux soldats comme à des personnes, pas des pions, et ça change tout — et non, elle ne sait pas toujours ce qu’elle fait, mais elle le fait avec conviction. En plus elle a cette manie d’ajuster sa cravate quand les choses deviennent trop sérieuses — ou c’est une broche? je confonds toujours.

Anju Ema

Anju, c’est la grande sœur pas cliché mais presque, protectrice, franche et hyper pratique — elle ne fait pas beaucoup de drames, elle agit. Elle peut te décocher une réplique qui claque, mais te préparer un repas réconfortant ensuite (ou doubler la ration parce qu’elle oublie les calories), et elle garde un œil de lynx sur tout le monde. J’adore son mélange de dureté et de chaleur, comme si elle portait un manteau blindé qui sent bon la soupe maison; paradoxal mais exact. Aussi, elle a un rire contagieux et parfois un côté super têtue qui la fait paraître presque obstinée — mais c’est pour de bonnes raisons (ou alors c’est juste parce qu’elle a perdu un pari).

Daiya Iruma

Daiya, petit feu d’artifice ambulant: toujours prêt à plaisanter, à défier l’autorité, à faire l’irrévérencieux, mais quand la situation l’exige il devient étonnamment sérieux et tranchant. Il a ce côté “je n’ai peur de rien” mais il est aussi super loyal, un vrai pilier pour ses camarades (même s’il prétend le contraire). Il adore les blagues nulles, collectionne des babioles ridicules et a une passion inexplicable pour les snacks rassis — oui, c’est bizarre mais mignon. Parfois il est immature, parfois sage comme un vieux général, et ça le rend imprévisible dans le meilleur sens.

Henrietta Penrose

Henrietta, image de l’aristocratie qui cache une âme presque militante — elle a l’allure soignée, le sens politique affûté et une empathie surprenante envers les soldats oubliés. Elle parle diplomatie comme on respire, mais parfois ses gestes trahissent une vulnérabilité secrète (elle pleure devant des vieux films? peut-être, ou peut-être que j’invente). Elle a une collection de chapeaux ridiculement élégants et une manie de tapoter ses notes, comme si ça l’aidait à penser — ou alors c’est juste stress. Sérieuse, stratégique, mais avec un cœur trop grand pour rester distante très longtemps.

Jerome Karlestar

Jerome, il entre dans la pièce et boum — charisme maximal, blagueur, parfois trop sûr de lui, mais toujours prêt à se sacrifier pour ses amis (ou à faire un numéro dramatique avant, you know). Il aime le style, les petites exagérations théâtrales, et… des biscuits? toujours des biscuits. Derrière l’extraversion se cache quelqu’un qui a vu trop de choses et qui masque ça avec du sarcasme, ce qui le rend à la fois drôle et un peu triste — oui, cliché, mais efficace. Bref, un personnage qu’on remarque tout de suite, impossible à ignorer et en fait terriblement attachant.

Kaye Tanya

Kaye est la calme, la méthodique — elle sait tenir un poste, gérer le moindre détail, la personne sur qui tout le monde peut compter (même si elle râle beaucoup intérieurement). Elle aime l’ordre, les listes, les stylos parfaitement alignés, et il y a quelque chose de réconfortant dans sa routine (sauf quand elle perd inexplicablement ses clés toutes les cinq minutes, pourquoi?!). Derrière cette rigueur il y a une tendresse discrète, elle aide sans fanfare et parfois s’énerve pour des raisons absurdes — petite obsession pour les biscuits secs, peut-être? — moi aussi je la comprend. C’est le genre de personne qui rattrape les autres quand ils tombent, et ça suffit.

Kurena Kukumira

Kurena a ce côté doux-féroce: parle peu mais quand elle agit, c’est précis et souvent dangereux pour les ennemis (et parfois pour les règles aussi). Elle garde des secrets, mais n’hésite pas à protéger ses amis avec une détermination froide — et elle a un sourire rare qui déstabilise totalement. J’adore le contraste entre sa voix posée et les décisions tranchantes qu’elle prend; parfois elle t’offre une fleur (si, si) et parfois elle t’envoie valser pour te protéger — pas toujours logique, mais authentique. Et petit détail inutile: elle coud parfois des petits motifs sur ses manches, ou peut-être que je l’ai rêvée en train de le faire.

Mikuri Kairou

Mikuri, l’âme douce du groupe, celle qui panse les plaies (physiques et mentales), qui distribue des bandages et des conseils bizarres avec la même main. Elle est patiente, incroyablement attentive aux détails (elle se rappelle de petits faits gênants sur tout le monde), et semble toujours un peu dans la lune, comme si elle réfléchissait à dix choses à la fois. Elle aime les tasses de thé un peu trop grandes et possède une collection de boutons, oui des boutons — qui ne sait pas pourquoi mais c’est charmant. Parfois trop tendre pour ce monde, parfois étonnamment ferme, elle navigue entre douceur et force sans prévenir.

Raiden Shuga

Raiden, grande gueule et gros cœur, pilote flamboyant qui adore la vitesse, les cascades et l’intensité (et il parle fort, toujours). Il a ce rire contagieux qui réchauffe l’ambiance, mais il peut devenir silencieux quand il pense à tout ce qu’il a perdu — contradiction classique, mais vraie. Il bricole son engin comme un artisan amoureux, met parfois du shampoing dans la voiture? non non, mauvaise image, mais vous voyez l’idée: passionné et parfois un peu excessif. Bref, showman sur le devant, loyal dans l’ombre, et toujours prêt à risquer le plus pour protéger ceux qu’il aime.

Rekka Rin

Rekka, battante née: tranchante, directe, et prête à en découdre quand il le faut — elle ne mâche pas ses mots, oh non. Elle garde des peluches en secret, oui c’est ridicule mais ça la rend humaine, et elle s’énerve contre l’injustice comme personne; parfois froide, parfois incroyablement chaleureuse quand on la connaît bien. Elle est disciplinée, mais elle a des petites failles surprenantes (elle ne sait pas cuisiner sauf pour les nouilles instantanées, ou est-ce qu’elle est parfaite en cuisine? j’ai un doute). En résumé: un mélange de pugnacité et de douceur cachée, totalement imprévisible et super attachante.