À propos du Blue Orchestra en quelques mots:

“Ao no Orchestra” suit la vie de Hajime Aono, autrefois un violoniste prodigieux, dont la vie prend un tournant tumultueux après le divorce de ses parents et le scandale de son père. Renonçant au violon, le chemin d’Aono change lorsqu’il rencontre l’enthousiaste Ritsko Akine. L’encouragement d’un professeur, l’attrait d’un club d’orchestre prestigieux et la rivalité avec le génie du violon Nao Saeki tissent une histoire de passion, de rédemption et de compétition.

Rencontrez les personnages de Blue Orchestra

Hajime Aono

Hajime, c’est ce genre de héros un peu torturé mais super attachant — ancien prodige du violon qui a coupé son propre fil pour une raison qui te rend tout triste et curieux à la fois. Taciturne la plupart du temps, il parle peu mais joue comme si le monde allait s’écrouler s’il n’exprimait pas tout d’un coup; intense, oui, parfois froid, oui aussi. Il a des tics bizarres (toujours une gomme écrasée dans la poche — je jure que c’est vrai) et en même temps il se laisse surprendre par des petites joies naïves. Paradoxe vivant: il fuit l’attention mais adore être au centre quand l’orchestre devient feu d’artifice, et on l’aime pour ça.

Ritsuko Akine

Ritsuko, la compétitrice élégante, genre tu la vois et tu sais qu’elle a révisé chaque mesure trois fois de trop — perfectionniste mais pas gnangnan, plutôt tranchante et brillante. Elle joue avec une précision qui fait peur (dans le bon sens), mais elle a un côté humain qui débarque quand elle oublie son archet sur le toit de sa voiture — oui, ça lui arrive, inattendu et hilarant. Elle peut paraître froide mais lâche des remarques sarcastiques qui, honnêtement, te font rire malgré toi; et parfois elle cuisine horrible mais insiste que c’est « expérimental ». Bref, elle est complexe, exigeante, et secrètement fan de romans à l’eau de rose (ne le dites à personne).

Nao Saeki

Nao, douce mais pas naïve, elle a ce sourire chaleureux qui désarme immédiatement — violon ou violoncelle (ou est-ce le violon? j’ai un doute, mais c’est pas grave), en tout cas elle porte la musique comme on porte une étole: avec confort. Elle est hyper empathique, capte tout chez les gens et s’inquiète pour tout, parfois à l’excès; mais attention, elle peut aussi se transformer en bulldozer protecteur si quelqu’un touche à ses amis. Elle collectionne des trucs improbables (des aimants en forme d’animaux, paraît-il) et adore chanter faux quand elle est contente — c’est charmant et un peu catastrophique. Parfois étonnamment stratégique, parfois complètement rêveuse, Nao est ce personnage qui te serre le cœur et te fait sourire en même temps.

Haru Kozakura

Haru, pianiste discret mais hyper présent, on le remarque d’abord pour sa façon de calmer la pièce d’un seul accord, comme si le monde respirait avec lui. Il est organisé au point qu’on soupçonne un tableau Excel dans sa tête (vraiment), mais il a aussi des moments de chaos total — genre renverser son café sur sa partition deux minutes avant un solo, dramatique et humain. Il aime les petites plaisanteries subtiles et a une manie mignonne: il fredonne toujours une mélodie bizarre de dessins animés quand il est nerveux (ne me demandez pas pourquoi). Au fond, il est pilier du groupe, patient et surprenamment impulsif quand il s’agit de défendre ce qu’il aime.

Yamada Ichiro

Yamada, l’ami blagueur et bruyant, toujours prêt à détendre l’atmosphère avec une vanne douteuse mais efficace — on le voit, on rit, tout de suite mieux. Il joue souvent la carte du clown mais c’est trompeur: il est loyal à mort, bosse comme un forcené quand il faut et peut devenir terriblement sérieux en répétition (oui, oui, il sait se concentrer, surprenant non?). Il a une manie sympa: il grignote tout le temps (on parle de miettes, de chips, et d’une boîte mystère de cookies), ce qui le rend super humain et un peu chaotique. Contraste constant: il paraît léger mais porte de grandes convictions, et parfois ça éclate de façon belle et inattendue.

Shizuka Tachibana

Shizuka, la prof qui impose le respect dès qu’elle entre dans la salle, regard perçant, posture impeccable — la discipline incarnée, mais pas la méchante version, plutôt la version qui veut vraiment que tu donnes le meilleur. Elle gueule parfois (bon, souvent), mais ses remarques sont précises et utiles, et il y a un côté maternel rageur qui ressort quand un élève recule devant un passage difficile. Petite bizarrerie: elle a un mini-métronome en forme de moustache qu’elle caresse quand elle est pensive — oui, j’ai vu ça et c’est trop drôle pour une femme si sérieuse. Et il y a ce truc adorable: elle déteste qu’on la voie fondre, mais craque secrètement devant les pâtisseries et certains films cul-cul (ne le dites pas).