À propos du The Apothecary Diaries en quelques mots:

“Les Carnets de l’Apoticaire” est une série animée qui transporte les spectateurs dans un royaume fictif rappelant la Chine impériale. Elle suit l’histoire de Maomao, une jeune fille ayant des compétences en apothicaire dans le quartier des plaisirs, qui se retrouve kidnappée et vendue comme esclave au palais impérial. Au sein des murs du palais, elle met à profit ses connaissances en médecine et en pharmacologie, aidant secrètement le chef eunuque à résoudre des mystères médicaux et à naviguer dans les intrications politiques de la cour. Cette série mélange des éléments de drame, de mystère et d’intrigue historique, mettant en valeur l’intelligence, la débrouillardise et la curiosité inébranlable de Maomao alors qu’elle plonge dans les profondeurs de la nature humaine et les complexités de la vie royale.

Découvrez les personnages de The Apothecary Diaries

Jinshi

Jinshi, sérieux, élégant et un peu arrogant (oui, parfois insupportable, mais bon), c’est le type qui connaît toutes les règles et aime les appliquer — surtout si ça le fait briller. Il a ce regard calme qui cache une ambition froide, mais parfois il rougit comme un ado et personne ne sait pourquoi (moi non plus, c’est bizarre). Très poli en public, il peut devenir étonnamment impulsif quand on touche à son honneur ou à ses idées — genre, soudainement dramatique. Il collectionne les volumes poussiéreux et les théières minuscules, et jure qu’il n’a pas de faiblesse pour les sucreries (mensonge probable).

Maomao

Maomao, quelle héroïne — curieuse, têtue et terriblement acérée, elle voit des détails que tout le monde rate, et c’est à la fois adorable et un peu inquiétant. Elle trifouille, dissèque et goûte (ok, peut-être pas goûte tout le temps) avec une logique implacable, et pourtant elle a des réactions d’enfant quand quelque chose la surprend; oui, elle peut être brusque mais aussi incroyablement loyale. Très pragmatique, elle se moque des conventions mais respecte les personnes qui comprennent les plantes et les odeurs (même si elle va râler après). Oh et elle collectionne des bouts de ficelle et a une façon de mentionner des anecdotes historiques comme si c’était une blague — je l’adore.

Gyokuyou

Gyokuyou est le genre de personnage qui respire la grâce et les secrets, toute en soie et sourires calculés, mais souvent on sent une fatigue douce sous cette perfection. Elle manie la cour comme on manie un éventail: silencieuse, stratégique, parfois cruellement honnête sans que personne ne la voie venir. Elle aime les fleurs rares, les poèmes tristes, et laisse traîner des indices minuscules sur ses véritables pensées (ou alors je lis trop). Parfois elle est étonnamment tendre, puis redevenant distante, ce qui la rend presque impossible à complètement cerner — et c’est parfait.

Ah-Duo

Ah-Duo c’est la tornade mignonne du palais — bruyante, loyale, un peu maladroite mais d’un cœur immense; elle va taper du poing puis s’excuser avec une boîte de gâteaux. Elle voit la vie en couleurs vives et a un sens du timing comique (sérieux, elle surgit toujours au pire moment pour sauver la scène). Derrière le bazar, elle a une capacité étonnante à remarquer les petites injustices et à intervenir comme une mini héroïne. Et oui, elle chante faux, mais elle ne se gêne pas et c’est pour ça qu’on l’aime.

Lihua

Lihua paraît douce et réservée, brodant dans un coin avec un sourire patient, mais c’est un masque pour une ruse tranquille — discrète mais observatrice. Elle parle peu, choisit ses mots comme des perles, et quand elle agit, c’est précis et souvent surprenant (ne la sous-estimez pas). Elle adore les recettes de thé anciennes et a une manie de remettre les coussins “juste comme il faut”, ce qui agace tout le monde mais en fait elle maintient l’équilibre. Parfois elle est incroyablement tendre, parfois froide comme la porcelaine — et ces contradictions la rendent fascinante, promis.