À propos du Gantz en quelques mots:

Gantz est une série animée japonaise qui suit l’histoire de Kei Kurono et Masaru Kato, deux lycéens qui meurent dans un accident de métro et se retrouvent dans une mystérieuse pièce avec une sphère noire appelée Gantz. Ils sont alors forcés de participer à des missions où ils doivent tuer des créatures extraterrestres pour gagner des points et obtenir leur liberté. La série est connue pour son contenu violent et sexuel, ainsi que pour son intrigue complexe et sombre. Elle a été diffusée pour la première fois en 2004 et a été adaptée d’un manga du même nom.

Découvrez les personnages de Gantz

Kei Kurono

Kei, c’est le type qui te donne envie de le secouer et de l’applaudir en même temps — charismatique à contrecoeur, vraiment. Il commence comme un égoïste paumé mais devient étonnamment responsable (oui, choquant, je sais) — genre leader malgré lui. Il a ce sens pratique tordu et parfois il rit quand c’est pas du tout le moment, ce qui le rend encore plus humain. Parfois il paraît dur mais bon, il a un coeur énorme caché sous une armure sarcastique; parfois il pleure sur une vieille photo, et l’instant d’après il planifie une stratégie.

Yoshino Uehara

Yoshino, la fille douce qui cache une énergie combustible — on dirait une poupée tranquille et bam, elle est farouche quand il faut. Elle est loyale au possible, parfois un peu naïve, mais attention, elle surprend par sa ténacité quand la situation devient réelle. Elle a des petits tics mignons (mange des bonbons quand elle est stressée, peut-être) et pourtant elle peut être glaçante en combat — contradiction adorable. Bref, elle apporte une stabilité émotionnelle au chaos, même si elle se perd parfois dans ses doutes.

Kei Kishimoto

Kei Kishimoto, la tragique et fragile mais pas faible, tu vois? Elle a ce mélange de vulnérabilité et de colère contenue qui te cloue sur place; on veut la protéger et en même temps elle t’agace un peu, parce qu’elle fuit souvent. Elle est émotivement explosée mais aussi capable d’une force surprenante (genre, se battre pour les autres alors qu’elle tremble de peur). Elle a des moments presque enfantins — rires bizarres, obsessions étranges — puis retourne à un calme glaçant; on n’est jamais sûr d’elle et c’est ce qui la rend réelle.

Ryuji Kajiura

Ryuji, ah, le bricoleur à l’âme tendre — il invente, il triche, il se débrouille avec trois bouts de métal et un espoir. Il est un peu cynique, un peu sarcastique, mais il a ce sens moral tordu; il aide quand ça compte, même s’il ne le crie pas sur tous les toits. Parfois il paraît lâche (sincèrement parfois si), et d’autres fois il fonce comme un fou — incohérent mais humain. J’adore qu’il soit toujours en train de bidouiller quelque chose, et que son côté inventif cache une vraie compassion.

Masaru Kato

Kato, le pilier, le type presque parfait de camaraderie — tranquille, juste, toujours là pour les autres, et tu sais que t’as quelqu’un sur qui compter. Il n’est pas parfait, il doute, mais il fait toujours le bon choix à la fin (cliché mais vrai dans son cas). Il a ce calme presque ennuyeux qui rassure (ou qui énerve selon les jours), et en combat il est incroyablement résilient, genre coeur de fer. Petit détail drôle: il sourit souvent comme s’il venait d’entendre une bonne blague, même dans les pires moments — bizarre, oui, mais ça marche.

Masanobu Hojou

Hojou, le vétéran rugueux avec un sens du sacrifice un peu théâtral — il parle fort, il rechigne à montrer ses sentiments, mais il est prêt à tout pour l’équipe. Il a des principes très marqués (trop, parfois), et il se bat avec une loyauté presque fanatique — parfois agaçante, parfois admirable. Il a des côtés contradictoires: il râle, il critique, mais il est souvent celui qui prend les coups pour les autres; j’aime cette sale loyauté. Et puis il a toujours une anecdote groggy sur “les vieux days” — on sait jamais si c’est pour se remonter le moral ou juste pour dramatiser.

Hajime Muroto

Muroto, le gars mystérieux, silencieux mais tellement présent — il observe avant d’agir et ça le rend effrayant et fascinant. Il a une froideur méthodique, genre calculateur empathique? oui, ça existe, avec lui. Parfois il est étonnamment drôle (humour sec et improbable), d’autres fois il est un mur émotionnel; on n’a pas toujours accès à lui et ça garde un charme cruel. Sa loyauté est bizarrement fluctuante, mais quand il choisit, il choisit pour de bon — presque comme une révélation.

Sei Sakuraoka

Sei, la calme presque distante qui cache une profondeur surprenante — elle parle peu, mais quand elle ouvre la bouche, ça compte. Elle a une élégance froide, un regard qui pèse les gens, et un humour très sec (genre, sourire ghost). Parfois on croit qu’elle ne ressent rien, puis bam, elle fait un geste tendre et tu te dis “ah, ok, elle ressent bien”. Elle est souvent mystérieuse sur ses motivations (parfois contradictoires) mais c’est ce mystère qui la rend irrésistible.