À propos du Horimiya en quelques mots:

Horimiya est une série animée japonaise qui suit l’histoire de deux lycéens, Kyoko Hori et Izumi Miyamura, qui ont des personnalités très différentes mais qui finissent par se rapprocher et se lier d’amitié. Hori est une élève studieuse et populaire, tandis que Miyamura est un garçon introverti et peu sociable. Au fil de l’histoire, ils découvrent qu’ils ont plus en commun qu’ils ne le pensaient, et leur amitié se transforme en quelque chose de plus profond. La série explore des thèmes tels que l’amitié, l’amour, l’identité et l’acceptation de soi.

Découvrez les personnages d’Horimiya

Kyoko Hori

Kyoko, c’est l’ouragan organisé — ultra responsable à la maison et en même temps complètement capable de partir en vrille pour trois biscuits. Elle gère les corvées, protège sa petite sœur et porte une armure de confiance qui craque parfois en public (oui, elle pleure devant un drama, chut). Fonceuse, possessive parfois, mais terriblement loyale; elle a un côté “maman” qui surprend parce qu’elle peut aussi être puérile à souhait. Parfois elle dit qu’elle déteste qu’on s’inquiète pour elle et puis elle veut qu’on la prenne dans les bras, logique floue mais adorable.

Izumi Miyamura

Miyamura, c’est le type tranquille qui cache un univers — tatouages, piercings, yeux doux et blagues sèches qui vous surprennent à chaque fois. Il est hypersensible, attentif, et maladroit pour exprimer ce qu’il ressent (il cligne des yeux et tout le monde fond). Un peu nocturne, bouffe des snacks à minuit, adore les chats (ou était-ce des chiens? bon, les animaux en tout cas). Calme en surface, volcan à l’intérieur — mais dans le meilleur sens, pas le méchant.

Souta Hori

Souta est le petit frère modèle… sauf quand il devient un mini tornade de snacks et de jeux vidéo, sérieux il peut disparaître trois heures parce qu’il “termine juste un niveau”. Gentil, un peu pouponné par tout le monde, il a des opinions surprenantes (oui, il peut détester les brocolis puis en réclamer deux jours après, logique). Il est loyal, parfois trop prudent, et a ce sourire qui fait penser qu’il sait plus de choses qu’il ne le montre. Bref, petit mais costaud en personnalité, et il parle souvent comme un adulte bizarrement.

Toru Ishikawa

Ishikawa, douceur incarnée, ce gars est l’amoureux patient qui rougit pour un rien — romantique mais pas cul-cul, plutôt maladroit et sincère. Il est du genre à faire des gestes tendres qui tombent un peu à côté mais qui sont si vrais que tu fonds quand même. Loyal à ses potes, parfois jaloux sans l’admettre, et étonnamment perspicace quand il s’agit des autres. Il a ce côté “je suis sérieux” et puis, hop, une blague stupide sort et te rappelle qu’il est normal.

Yuki Yoshikawa

Yuki c’est la boule d’énergie mignonne et un peu fofolle qui adore la mode et la bouffe (généralement les deux en même temps, combine robe et dessert). Elle est bavarde, enthousiaste, et souvent à côté de la plaque… mais dans le meilleur sens, parce qu’elle met l’ambiance. Très sociale, elle se fait des plans dans sa tête et change d’avis toutes les cinq minutes — on sait jamais si elle est team sucré ou salé aujourd’hui. Elle te donne des conseils en amour à la fois précieux et totalement contradictoires, ce qui est hilarant.

Kakeru Sengoku

Sengoku est le gars populaire qui semble sûr de lui — blagues, charme, un petit côté dragueur — mais qui cache une vraie compréhension des gens, surprenante. Il aime taquiner, se moquer gentiment, et puis, soudain, il devient sérieux comme s’il pesait chaque mot; c’est déroutant et lovable. Sportif, branché mais pas snob, il peut être immature puis étonnamment protecteur à la seconde suivante. On ne sait jamais s’il s’amuse ou s’il teste, et c’est ce mélange qui le rend addictif.

Remi Ayasaki

Remi, ok, c’est la boule d’excentricité — énergie théâtrale, répliques punchy, et un sens du style qui ne laisse personne indifférent. Elle est intense, parfois mystérieuse (ou peut-être juste dramatique, difficile à dire), et elle peut passer de “je t’ignore” à “je t’embrasse sur la joue” en deux secondes. Fragile sous la couche flamboyante, elle a des secrets et des contradictions qui la rendent fascinante. Bref, tu veux la comprendre, mais tu risques surtout de te perdre dans ses histoires sans fin — et c’est bien comme ça.