À propos du Bucchigiri! en quelques mots:

“Bucchigiri?!” est une série télévisée d’animation japonaise originale qui transporte les téléspectateurs dans un monde rempli d’action, d’aventure et de fantaisie. Animée par le célèbre studio MAPPA et réalisée par Hiroko Utsumi, avec Taku Kishimoto à l’écriture du scénario, cette série tisse une narration autour d’Araji Tomobishi et de ses retrouvailles tumultueuses avec de vieux amis au milieu de combats contre des adversaires redoutables. Avec son mélange unique de comédie, de fantaisie et de thèmes de délinquance et de vie scolaire, “Bucchigiri?!” se distingue par son intrigue captivante, son développement dynamique des personnages et la présence mystérieuse d’un démon colossal qui ajoute un élément de suspense et d’intrigue. Cet anime promet une expérience captivante pour les téléspectateurs, les plongeant dans son monde vibrant ainsi que dans les relations complexes et les conflits qui le définissent.

Découvrez les personnages de Bucchigiri?!

Matakara Asamine

Matakara, sérieux, mais jamais ennuyeux — il a cette présence un peu froide qui te cloue sur place et puis bum, il rit d’un truc idiot et tout est déstabilisé. Il a l’air calculateur, toujours avec un plan dans la poche (sauf quand il oublie où il a mis sa montre, vrai). J’adore qu’il soit à la fois le cerveau du groupe et un peu maladroit socialement, comme s’il lisait un manuel sur “comment être cool” et zappait des pages. Petit détail: il ne boit jamais de café mais connaît toutes les marques comme si c’était sa religion, allez savoir pourquoi.

Senya

Senya, c’est la tornade douce-amère — charme discret, mais quand il parle, tout le monde tend l’oreille; sauf qu’il peut disparaître dans son monde pendant des heures (et aussi dans la cuisine, toujours à grignoter quelque chose). Il est loyal jusqu’à la moelle et un peu dramatique, genre “je vais tout sauver” alors qu’il panique déjà intérieurement, franchement adorable. On dit qu’il a un tatouage secret, peut-être sur l’épaule, peut-être sur la cheville, je me souviens plus, c’est flou, mais ça lui va bien. Et il collectionne des trucs improbables — tickets de métro, cailloux, notes ridicules — sérieux, quel personnage.

Arajin Tomoshibi

Arajin est flamboyant sans effort, un feu d’artifice personnel, mais pas le type bruyant; c’est plutôt un feu qui te réchauffe et te rend un peu trop honnête avec toi-même. Il parle en métaphores et en citations comme si sa vie était un vieux roman, et parfois je jure qu’il a un dictionnaire dans la poche (ou juste une mémoire de moine, je sais pas). Il est mystérieux, oui, mais attention: il adore les desserts au citron, ça l’humanise entièrement. Parfois il exagère les choses pour le drama, parfois il est étonnamment terre-à-terre — ce contraste est exactement pourquoi on l’aime.

Mahoro Jin

Mahoro, oh Mahoro, c’est la stabilité avec une pointe de chaos contrôlé — genre “je gère tout” mais ok, il pleure devant un film mignon, ne le dites à personne. C’est la force tranquille, protecteur, un peu papa gâteau mais pas envahissant, tu sais ? Il a des principes, parfois trop rigides (sauf quand il ne respecte pas une règle parce qu’il a envie de pancakes à 3h du mat, oui oui). Super loyal, super pragmatique, et il a ce tic mignon de se passer la main dans les cheveux quand il cherche ses mots — ou c’est quand il est nerveux? Bref, on fond.

Marito Jin

Marito est le genre de personne qui a l’air simple mais qui te cueille avec une réplique silencieuse au moment le moins attendu; calme à la surface, tsunami émotionnel à l’intérieur (ou l’inverse?). Il a une manière de regarder les choses comme s’il lisait une partition, délicat et précis, et en même temps il pleure quand on lui offre une fleur cheap — oui, contradiction acceptée. Il aime bricoler des trucs inutiles mais incroyablement ingénieux, genre une lampe faite d’ustensiles de cuisine, je vous jure. Et il parle peu, donc quand il ouvre la bouche c’est important, ou juste très drôle, selon la chance du jour.

Kakeru Zabu

Kakeru, c’est l’énergie pure, sprint constant, on dirait qu’il a bu trois cafés et deux sodas, mais il dort quand même très bien (ou pas, la rumeur dit qu’il fait des siestes stratégiques). Il est hyper compétitif mais incroyablement généreux — il te vole la dernière part de gâteau et te l’offre ensuite (compte d’une façon). Il a ce côté imprévisible, donc on ne sait jamais s’il va tout résoudre en dix minutes ou casser quelque chose en essayant, suspense permanent. Il porte toujours un accessoire bizarre, genre un pin’s ridicule ou un bandeau, et ça devient sa signature sans qu’il le veuille vraiment.