À propos du Ron’s Gone Wrong en quelques mots:

Ron’s Gone Wrong est une série animée télévisée qui suit l’histoire d’un jeune garçon nommé Barney qui vit dans un monde où chaque enfant possède un robot compagnon. Barney est le seul à ne pas en avoir, mais il finit par se lier d’amitié avec un robot défectueux nommé Ron. Ensemble, ils naviguent dans les défis de la vie et apprennent l’importance de l’amitié, de l’acceptation et de la compréhension. La série est remplie d’aventures amusantes et émouvantes qui plairont aux enfants et aux adultes.

Rencontrez les personnages de Ron’s Gone Wrong

Barney

Barney, c’est ce gosse adorable qui déborde d’imagination et d’embarras en même temps — genre il parle vite quand il est content et rougit pour des raisons qui n’ont parfois aucun sens. Toujours prêt à défendre ses amis même s’il confond souvent courage et panique organisée (oui, c’est une chose). Son rôle, c’est la gentillesse maladroite mais sincère, la voix qui dit ce que tout le monde pense mais ne sait pas comment le dire. J’insiste, il a ce mélange d’innocence et d’obstination qui rend tout hyper touchant — et parfois il collectionne des autocollants ridicules, je te jure que c’est un vrai hobby.

Ron

Ron est la petite machine improbable, loyale au-delà du raisonnable et encore un peu… cassée (littéralement, parfois). Il apprend l’amitié en mode bug, il fait des gestes maladroits mais il essaye, tout le temps, et c’est contagieux. Il est drôle sans le vouloir, doux même quand il explose (calme, il n’explose pas physiquement, tu vois ce que je veux dire) et il veut juste être compris. Franchement, il a des tics mignons — il tourne la tête comme un petit cadran et parfois il chante une chanson bizarre, je le jure, c’est adorable.

Graham

Graham, le papa stressé mais terriblement humain, le genre qui veut tout contrôler mais fond comme du caramel quand ça compte. Il est protecteur, parfois trop sérieux, mais on sent qu’il essaie de s’améliorer (et ça se voit dans des détails tordus, comme ses carnets ou ses blagues pas toujours drôles). Son rôle dans l’histoire, c’est d’ancrer tout le monde, d’apporter la réalité après les drames high-tech — et parfois de se perdre dans une recherche Google à 3 heures du matin, oui vraiment. Au final, c’est un cœur énorme sous un costume un peu froissé, et il a probablement une playlist secrète de chansons doudou.

Donka

Donka, c’est la boss du quartier, un peu râleuse, ultra directe et carrément protectrice (ne la cherchez pas si vos intentions sont douteuses). Elle parle fort, elle a du style, elle sait se battre mais elle pleure dans le bus, surprise oui — paradoxale à souhait. Son rôle c’est la copine qui remet les pieds sur terre, qui dit la vérité en plein visage et qui, bizarrement, adore tricoter — ou était-ce du macramé? Bref, elle a des couches de badassitude et de tendresse qui se révèlent au fil du temps, et j’aime trop ce contraste.

Andrew

Andrew est le gamin populaire qui veut tout contrôler, du genre à toujours savoir ce qui est “cool” (ou du moins à le prétendre). Il est un peu vaniteux, souvent nerveux derrière son sourire, et parfois franchement maladroit quand ses plans tombent à l’eau — ce qui arrive souvent, haha. Son rôle c’est de secouer le groupe, provoquer des tensions et forcer les personnages à grandir (même s’il croit que tout se règle avec un smartphone). Aussi, il collectionne des trophées invisibles (non je plaisante, ou pas?) et adore faire des imitations bizarres à tout le monde quand il est seul.

Marc

Marc, le technicien au grand cœur et à l’humour pince-sans-rire, celui qui sait bricoler un robot avec du scotch et trois idées folles. Il est un peu nerd (ok, beaucoup nerd), toujours avec des croquis partout et un café froid à la main, mais il a une patience infinie pour les petits monstres électroniques. Son rôle, c’est l’ingénieur gentil qui sauve le bazar sans en faire trop, et qui a une tendance à parler à voix haute pour expliquer des choses simples (à lui-même ou à son chat, je ne sais plus). Parfois il est sérieux, parfois il raconte des anecdotes improbables à table — j’adore son côté papa-drole, totalement imprévisible.