À propos du Yamada Kun And The Seven Witches en quelques mots:

Yamada Kun And The Seven Witches est une série animée japonaise qui suit l’histoire de Yamada, un étudiant qui découvre qu’il a le pouvoir de transférer son esprit dans le corps des autres en les embrassant. Il rencontre ensuite sept autres étudiantes qui possèdent chacune un pouvoir de sorcière différent. Ensemble, ils doivent résoudre les problèmes causés par leurs pouvoirs magiques tout en naviguant dans les complexités de l’amour et de l’amitié. La série est remplie de comédie, d’émotion et de rebondissements inattendus.

Découvrez les personnages de Yamada Kun et les Sept Sorcières

Miyabi Itou

Miyabi, c’est la fille froide-sur-la-carte-postale mais en vrai elle a des tas de petits plis doux cachés sous son uniforme — genre sérieux, impeccable, contrôle tout, mais peut fondre devant une peluche (oui, je jure que je l’ai vu une fois). Toujours propreté et discipline, vous la verrez corriger les autres avec un regard assassin, puis rougir si on lui répond trop gentiment. Elle paraît distante, presque adulte, mais parfois elle dit des choses tellement maladroites que t’as envie de la secouer — ou de la protéger, au choix. Bref, mystérieuse et organisée, mais pas sans faille; un mélange “princesse stricte qui collectionne des autocollants mignons” (oui, c’est contradictoire, je sais).

Nene Odagiri

Nene, oh mon dieu Nene, la fille qui déteste qu’on l’appelle faible mais qui pleure devant un animal abandonné — furieuse, directe, un peu dramatique, la reine du “je te tabasse si tu me trahis” mais aussi celle qui t’enverra un message de cinq heures du matin pour dire “tu vas bien ?”. Elle a ce côté un peu rebelle, cheveux qui partent dans tous les sens, humour acerbe, et en même temps elle peut devenir la meilleure amie la plus loyale imaginable. Parfois elle balance des insultes avec le sourire, parfois elle t’offre des biscuits faits maison, donc bon courage pour deviner. Impulsive, sincère, intense : elle ne fait jamais les choses à moitié, même quand elle essaye d’être “calme” (spoiler : ça marche jamais).

Leona Miyamura

Leona a l’air d’un bad boy sorti d’un manga de nuit — piercings, tatouages, regard mystérieux — mais en fait c’est un gros cœur en undercut; il est doux, super timide avec les compliments et collectionne les petits trucs mignons (vraiment). Artiste dans l’âme, il gribouille tout le temps, adore les chansons tristes et a des idées folles mais étrangement profondes sur la vie. Il passe de silence total à blague complètement absurde en deux secondes, donc il peut sembler insaisissable. Sérieusement, il est genre “j’ai l’air dangereux mais je nourris les chats du quartier”, et ça me tue à chaque fois.

Toranosuke Miyamura

Toranosuke, le petit frère hyperactif et dramatique, toujours en train de crier une opinion ou de tomber amoureusement amoureux de la première chose mignonne qu’il voit — foot, bagarre amicale, ou une boîte de gâteaux, il fonce. Il est bruyant, loyal, protecteur envers sa famille, et parfois un peu naïf (genre vraiment naïf), mais déborde d’énergie et d’enthousiasme contagieux. Il peut se montrer sérieux quand il faut, mais souvent il est plus du genre “plan foireux à minuit” que “stratégie calculée”. J’adore qu’il soit tout feu tout flamme mais aussi capable d’un petit geste hyper doux, comme fabriquer un cadeau ridicule mais sincère; ça casse tout.

Ryuu Yamada

Yamada c’est le paresseux génial du lycée, toujours en train de dormir en classe et pourtant prêt à tout pour ses amis; il a cette énergie anarchique qui fait que tout le monde l’aime (ou le craint un peu). Farceur, maladroit, mais terriblement courageux quand il faut, il agit souvent sans réfléchir et ça marche bizarrement en sa faveur — ou en désastre, il y a un historique. Il adore la nourriture (sérieusement, il vit pour les bentos) et peut soudainement devenir étonnamment profond quand on parle de sujets sérieux. Bref, un combo poule-ronchon-cœur-d’or; il est pas parfait, mais c’est précisément ça qui le rend attachant.

Urara Shiraishi

Urara, la fille sérieuse, la bosseuse par excellence, douce et un peu réservée au début, puis bam, évolue en quelqu’un de confiant — mais toujours avec ce petit tremblement gentil quand elle sourit trop fort. Elle a la tête sur les épaules, étudie dur, et pourtant elle a des rêves romantiques un peu kitsch (ton cliché de shojo, j’assume), ce qui la rend délicieusement contradictoire. Elle peut paraître fragile, mais elle tient bon et surprend souvent tout le monde par sa force intérieure. Petit détail bête: elle range ses cahiers par couleur… ou par thème? je ne sais plus, mais elle est hyper organisée, sauf quand elle ne l’est pas.

Daichi Shinagawa

Daichi, le mec baraqué qui hurle “je suis fort” mais te prépare un repas meilleur que n’importe quel resto — violent extérieur, grand coeur intérieur, cliché du dur avec un sens moral énorme. Il est protecteur au possible, légèrement possessif parfois (pas trop, mais bon, ça arrive), et a un sens de l’honneur très prononcé; il déteste l’injustice et frappe d’abord, réfléchit peut-être après. Il adore la musique classique en secret? Ou alors c’est plutôt les comédies romantiques… en tout cas il surprend souvent par des goûts inattendus. Voilà, dur mais tendre, un peu brute de décoffrage mais qui pleure quand même devant certains films (ne lui dites pas que je l’ai dit).

Noa Takigawa

Noa, la fille ultra-populaire, mannequin dans l’âme, toujours impeccable, sourire parfait — mais attention, pas une poupée vide: elle est capable de cruauté froide ou d’une gentillesse déroutante selon son humeur (ou selon qui lui parle). Elle a ce style “glamour sans effort” et parle rarement de ses vrais sentiments, ce qui la rend super intrigante; parfois elle flirte, parfois elle s’éclipse, et tu restes là à te demander. Curieuse comme tout, elle collectionne les petits secrets et parfois elle rougit aussi (oui oui, elle rougit, ça arrive). En bref, mystère et paillettes, mais pas juste superficielle — elle cache des couches, et certaines sont même mignonnes.